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Bloquée sur une île paradisiaque car testée positive au Covid 19

C’est une histoire un peu surréaliste que relate France Bleu Azur, concernant l’histoire de cette jeune touriste azuréenne partie passer quelques jours de détente dans une des destinations les plus réputées : les Maldives.

Cet archipel de l’Océan Indien a réouvert ses frontières récemment, permettant ainsi aux amateurs de grandes plages de sables blancs quasi désertes, d’hôtels de luxe sur pilotis et d’îles hôtels de retrouver leur paradis. C’est aussi une destination très réputée pour les croisières à thématiques comme le surf et surtout la plongée sous marine. C’est ce qu’était venue chercher la jeune touriste française, passionnée de plongée.

Mais l’ouverture aux touristes internationaux s’est faite sous condition. Ainsi, pour pénétrer sur le territoire des Maldives, il faut se soumettre à un test PCR.

C’est, selon le témoignage de la jeune fille auprès de la radio local, ce qu’a fait la jeune touriste en débarquant d’une croisière dans les îles des Maldives. Une fois touché la terre ferme, elle a donc réalisé un test PCR Covid 19 et celui-ci s’est avéré….positif.

La procédure est alors très clair dans cet état de l’Océan Indien : mise en quarantaine de 14 jours dans un hôtel spécialement dédié aux touristes positifs !

Cette quarantaine obligatoire se fait donc dans des conditions particulières puisque l’hôtel réquisitionné n’en est pas moins un établissement de luxe , permettant les baignades sur la plage de rêve et de profiter de tous les services de l’hôtel, dont la pension complète. Par contre, c’est « vacances forcées » doivent être solitaires, aucun contact avec les autres touristes isolés ne sont permis.

Et la question qui fâche est bien sûr celle du coût : tous les frais hôteliers sont à la charge des touristes, qui se voient donc dans l’obligation de rester sur place 14 jours, sans capacité de choisir le lieu et donc le standing de l’hôtel.
Pour la touriste azuréenne, l’addition ne devrait pas être trop « salée » grâce à la prise en charge de son assurance, mais pour d’autres touristes dans la même situation, le surcoût pourrait s’avérer bien difficile à régler.

Retrouvez l’intégralité de l’interview sur le site de France Bleu Azur